Signatures manuscrites vs signatures électroniques : quelles sont les différences ?

Depuis de nombreuses années, les signatures électroniques conformes aux directives ESIGN et UETA sont acceptées aux États-Unis comme étant juridiquement équivalentes aux signatures manuscrites traditionnelles. Leur acceptation s'est étendue à l'échelle mondiale en vertu de réglementations telles que l'eIDAS de l'UE et la ZertES de la Suisse, permettant aux particuliers et aux entreprises de conclure des accords exécutoires en ligne avec rapidité et sécurité. Contrairement à une signature physique faite à l'encre, une signature électronique est appliquée numériquement, garantissant qu'un contrat ou un enregistrement conserve son autorité juridique quel que soit son format.

Bien que les termes « signatures électroniques et numériques » soient souvent utilisés de manière interchangeable, ils diffèrent considérablement de la signature manuscrite conventionnelle dans leur création et leur application.

Les signatures numériques offrent une couche de sécurité plus forte que les signatures manuscrites traditionnelles, car elles sont beaucoup plus résistantes à la contrefaçon. En revanche, les documents papier portant des signatures manuscrites peuvent être égarés, modifiés ou endommagés, des problèmes qui sont amplifiés dans les environnements avec de grands volumes et une augmentation des erreurs humaines.

Les plateformes comme Sign.Plus améliorent ce processus en assurant un stockage sécurisé et en délivrant un certificat d'achèvement pour chaque document signé, qui enregistre les détails essentiels tels que les noms, les adresses IP et les appareils utilisés. Chaque étape étant enregistrée de manière immuable, les solutions de signature électronique sont devenues la méthode la plus sûre pour exécuter des contrats aujourd'hui.
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